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Musical
0001 - A Night Out (1920)
Musique: Cole Porter • Willie Redstone
Paroles: Clifford Grey
Livret: George Grossmith
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Commentaire  Isnpiration  Liste chansons  

"A Night Out" est une comédie musicale adaptée de la comédie française , "L’Hôtel du libre échange" de Georges Feydeau et Maurice Desvallières (1894).

Genèse:

Résumé: Acte I Le sculpteur Joseph Pinglet est frappé par son épouse dominatrice et est prêt à se rebeller par une petite sortie non autorisée. Il a l'intention de dîner avec la jolie Marcelle Delavaux, la fiancée négligée de Maurice Paillard, dans une salle privée de l'hôtel Pimlico. Mais Madame Pinglet a été convoquée pour rendre visite à sa sœur malade, et elle enferme son mari dans son atelier avant de partir. Pinglet utilise le tire-cloche comme une corde et s'échappe par le balcon. Acte II Pinglet et Marcelle sont arrivés à l'hôtel. À leur insu, Monsieur Matthieu et ses quatre jeunes filles, ont eux reçu une chambre réputée hantée. Par un oubli, la même chambre a également été attribuée à Maurice Paillard, qui a l'intention de passer une soirée intime avec Victorine, la bonne des Pinglets. Pinglet et Marcelle sont dérangés par les coups frénétiques à leur porte et la voix de Paillard, qui a été terrifié de trouver dans sa chambre quatre personnages en blanc - les filles de Matthieu - qu'il suppose être des fantômes. La confusion est aggravée par une descente de police. La police prend les noms de toutes les personnes présentes. Victorine lui donne le nom de Madame Pinglet. De retour à son atelier, Pinglet monte juste avant le retour de sa femme. Elle est très échevelée suite à un accident de la circulation. Les convocations arrivent de la police. Pinglet voit le nom de Mme Pinglet sur l'une d'elles et se retourne contre sa femme déconcertée et lui reproche son comportement licencieux. Les policiers arrivent avec les autres qui ont été à l'hôtel. Dans toutes les péripéties qui suivent la prétendue imposture de Victorine, le rôle de Pinglet et Marcelle dans les événements de la soirée restent sertets et ils échappent aux conséquences néfastes de leur soirée.

Création: 18/9/1920 - Winter Garden Theatre (Londres) - 309 représ.



Musical
0002 - Sally (1920)
Musique: Jerome Kern
Paroles: Clifford Grey
Livret: Guy Bolton
Production originale: Florenz Ziegfeld
6 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  Isnpiration  Liste chansons  

"Sally" a ouvert au New Amsterdam Theatre à New York le 21 décembre 1920, et, au moment où il a fermé en 1924, si l’on comptabilise les reprises, il était devenu la plus longue série de Broadway à l’époque. À la fin de la décennie, "Sally" se révélerait être parmi les cinq spectacles les plus rentables des années ‘20.

Genèse: Création L’histoire de la création de "Sally" commence avec l’équipe de Jerome Kern, Guy Bolton, et P.G. Wodehouse, trois collaborateurs dont les premiers musicals au Princess Theatre montraient qu’il était possible de créer des spectacles qui n’avaient pas l’opulence tapageuse des opérettes de l’époque. Suite à ce succès, ils furent invités par le producteur le plus extravagant de Broadway, Florenz Ziegfeld, à écrire un spectacle pour sa star (et pas que…) Marilyn Miller. Les trois hommes ont concocté une histoire qui combine l’innocence de leurs musicals précédents avec la somptuosité de la formule des «Follies». Finalement, Wodehouse s’est retiré du projet et Guy Bolton s’est retrouvé seul responsable du livret. De son côté, Jerome Kern semblait totalement indifférent à la perspective de travailler pour un musical produit par Ziegfeld. Une grande partie de sa partition se borne à du recyclage de morceaux de spectacles précédents, y compris "Look for the Silver Lining" et "Whip-poor-will" (avec des paroles de Buddy De Sylva, du flop "Zip Goes a Million"); "The Lorelei" (paroles de Anne Caldwell); et "You Can’t Keep a Good Girl Down" et "The Church 'Round the Comer" (paroles de P.G. Wodehouse). Clifford Grey a fourni les paroles des quelques rares nouvelles chansons de la partition. À la demande de Ziegfeld, qui croyait que Kern était un compositeur symphonique inexpérimenté, Victor Herbert a été engagé pour écrire la musique à "The Butterfly Ballet" dans l’acte trois. Herbert a également dirigé le ballet le soir de la première. Le musical a ouvert le 21 décembre 1920 au New Amsterdam Theatre de Broadway et s’est joué durant 570 représentations, ce qui était l'une des plus longues séries à Broadway à l’époque. Au moment de sa fermeture en 1924, en comprenant les ‘return engagement’, le spectacle se trouve être parmi les cinq plus gros producteurs d'argent des années 1920. Le spectacle ayant été conçu dès le début comme un véhicule pour Marilyn Miller, il faut signaler qu’elle va passer en quelques jour de «danseuse de 22 ans des Ziegfeld Follies» à star. Marilyn Miller continuera à être une star à Broadway jusqu'à sa mort en 1936. Autres versions Le musical a été créé avec succès en 1921 à Londres au Winter Garden Theatre, mettant en vedette les vétérans britanniques de la comédie musicale George Grossmith Jr. et Leslie Henson. Cette version s’est jouée 387 représentations. Il s’est également joué en 1923 en Australie, produit par la société J. C. Williamson. Il y eut des reprises à Broadway en 1923 (au New Amsterdam Theatre) et en 1948 et des reprises à Londres en 1942 (au Prince's Theatre) et en 1952 (Oxford New Theatre). Adaptations La première adaptation cinématographique est un film muet de 1925 mettant en vedette Colleen Moore. Il a été réalisé par Alfred E. Green et produit par le mari de Moore, John McCormick. Le scénario a été adapté par June Mathis. La version du film musical de 1929 fut en fait le troisième long métrage totalement parlé et totalement en couleur de l’histoire du cinéma. Il contient trois des chansons de Kern (" Look for the Silver Lining" , "Sally" et "Wild Rose"). Le reste de la musique a été créée pour le film par Al Dubin et Joe Burke. Marilyn Miller a été embauchée par les Warner Brothers pour reprendre son rôle de la création moyennant une somme extravagante (apparemment 1.000 $ de l'heure pour un total de 100.000$). Le film a été nominé pour un Oscar de la meilleure direction artistique par Jack Okey en 1930. Sally a été présenté sur « The Railroad Hour » - une célèbre émission de radio - le 6 avril 1953. L'adaptation radiophonique de 30 minutes mettait en vedette Gordon MacRae et Lucille Norman.

Résumé: A l’Alley Inn de Greenwich Village, Mme Ten Broek, veuve fortunée et assistante sociale, accompagne un groupe d'orphelins venus postuler pour travailler à la plonge. Le propriétaire de l'auberge choisit Sally Green, mais la fille n'est pas vraiment ravie de son nouveau poste. Seule avec ses camarades, elle avoue ce qu'elle veut vraiment, c'est devenir célèbre comme, par exemple, Jeanne d'Arc. Sally rencontre Connie qui, bien que simple serveur, est en réalité le grand-duc exilé Constantin de Czechogovinia. En raison de son rang élevé, Connie sera autorisé à prendre congé le jeudi suivant pour assister à un bal en son honneur donné par le millionnaire Richard Farquar. Par coïncidence, le fils de Farquar, Blair, vient d'entrer dans l'auberge pour organiser le dîner pour la soirée. Attiré par Sally, il essaie de lui remonter le moral en exhortant la jeune fille pauvre à «Look for the Silver Lining», un conseil qu'elle accepte avec ferveur. Connie, impressionné par le niveau de danse de Sally, s'arrange pour qu'elle se produise à l'auberge. Sont également présents Otis Hooper, un agent théâtral de Squantamville, dans le Maine, et sa fiancée, Rosie Rafferty, qu'il envisage d'épouser dès qu'il gagnera assez d'argent. Ce rêve semble maintenant bien loin car Otis vient d'apprendre que Mme. Nookerova, une célèbre danseuse de ballet française, ne pourra pas assumer son contrat dans la prochaine fête organisée par Farquar. Voir Sally danser donne une idée à Otis: puisque personne ne sait ce à quoi Mme. Nookerova ressemble, il fera passer la jeune orpheline pour la ballerine française. Alors que Sally part avec Otis et Rosie pour organiser leur petite tromperie, Blair revient avec ses amis. Parce que tout le monde est curieux de connaître son dernier amour, le jeune homme avoue ses plans pour extraire Sally de la pauvreté de cette auberge, révélant ainsi son intérêt pour elle. Pendant le bal dans la propriété Farquar de Long Island, l'hôte, en présentant "Mme. Nookerova" à la presse, la décrit comme aussi innocente qu'une primevère (ndlr une fleur). Ce à quoi Sally très énervée rétorque: «I am just zee opposite of primrose. Zere is nossing 'prim' about me!» («Je suis juste à l'opposé d’une primevère. Il n’y a rien de 'prim' à propos de moi!») Portée par la musique, elle révèle qu'elle est, en fait, une rose sauvage («not a prim and mild rose»). Après que Connie ait fait sa grande entrée, lui et Mme Ten Broek trouvent un coin isolé dans lequel ils peuvent être seuls. Répondant aux nombreuses interrogations de la dame sur son pays, le grand-duc l'informe de toutes les choses folles et merveilleuses qui se passent "sur les rives du Schnitza-Kommiski". Blair, intrigué par la forte ressemblance physique entre la ballerine française et Sally, se retrouve à nouveau amoureux. Lorsqu’il voit Sally et Blair ensemble, Otis, l'ami de Rosie et Blair, décrit Mme. Nookerova comme une Lorelei moderne – ce qui mène directement à une chanson sur les anciennes sirènes et modernes. Le succès de Sally étant apparemment assuré, Otis et Rosie sont enfin en mesure de planifier leur mariage dans la petite église "Round the Corner", "juste au-dessus de Madison Square". Mais tout se complique quand Sally convainc Blair qu'elle - c'est-à-dire Mme. Nookerova - est une femme méchante qui a causé la chute de Connie. Au cours de son solo Slavic Dance, Sally est dénoncée avec colère par Blair; ce qui oblige la fille en larmes à admettre sa tromperie. Une fois de plus, cependant, Otis vient à la rescousse. La danse de Sally a tellement impressionné tout le monde qu'il lui obtient un engagement dans les nouvelles Ziegfeld Follies. Dans le Butterfly Ballet de la Ziegfeld Revue, au milieu de chœurs de papillons et de papillons de nuit, Sally danse ce qui lui permet de quitter définitivement son rôle de papillon pour devenir une star des Ziegfeld Follies à part entière. Dans le final, Sally et Blair, Mme Ten Broek et Connie, et Rosie et Otis prononcent tous leurs vœux de mariage alors que les cloches de la joie sonnent dans la petite église au coin de la rue.

Création: 21/12/1920 - New Amsterdam Theatre (Broadway) - 463 représ.



Revue
0003 - Rainbow Revue (The) (1923)
Musique: George Gershwin
Paroles: Clifford Grey
Livret:
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Liste chansons  

Genèse:

Résumé: La première visite de George Gershwin à Londres lui donne l’occasion d’écrire la partition de cette revue qui l’associe au parolier anglais Clifford Grey. Dans une lettre à Ira de l’hôtel Savoy, George a écrit qu’il était très heureux de l'accueil, qui comprenait un agent des douanes qui l’a reconnu comme le compositeur de «Swanee» et un journaliste qui lui a donné «l’impression d’être Kern ou quelqu’un d’autre». George arriva à Londres seulement quatre jours avant le début des répétitions; heureusement, il apporta avec lui un certain nombre de chansons déjà écrites qui pourraient être insérées dans la production. Gershwin et Grey en créèrent de nombreuses autres - de qualité variable - mais THE RAINBOW REVUE, bien qu’ayant connu du succès à Londres, n’a jamais reçu de production américaine.

Création: 3/4/1923 - Empire Theatre (Londres) - représ.



Musical
0004 - Hit the Deck (1927)
Musique: Vincent Youmans
Paroles: Clifford Grey • Leo Robin
Livret: Herbert Fields
Production originale:
4 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Commentaire  Génèse  Isnpiration  Liste chansons  

L'histoire concerne Loulou, la propriétaire d'un café de Newport, et sa quête pour convaincre son amant, Bilge (un marin), de l'épouser.

Genèse: Hit the Deck! de Vincent Youmans est l’un des plus grands succès de la saison, et un parfait complément au triomphe du compositeur en 1925, No, No, Nanette (). Les deux spectacles avaient pour vedette féminine Louise Groody, et les deux étaient des exemples vivants des musicals joyeux de l’époque qui offraient une alternative «intelligente» aux opérettes romantiques à l’ancienne. La partition contenait deux chansons à succès: la ballade Sometimes I’m Happy et la chanson Hallelujah!. La série à Broadway à donné naissance a un bel US Tour, une production londonienne populaire et deux adaptations cinématographiques. Mais le musical a été le dernier succès de Youmans à Broadway, et bien qu’il ait contribué à des chansons remarquées pour d'autres spectacles plus tard, il n’a plus jamais présenté un autre blockbuster. Le succès de Hit the Deck! doit avoir été particulièrement doux pour Youmans après son expérience aigre avec Oh, Please! ()plus tôt dans la saison. Ce musical fut le dernier musical de Louise Groody à Broadway. Elle apparaîtra une dernière fois à New York fut dans la pièce de théâtre A Church Mouse en 1933. En plus de ses rôles principaux dans No, No, Nanette () et Hit the Deck!, elle avait déjà été mise en vedette dans les gros succès de Jerome Kern, The Night Boat () et Good Morning Dearie (). Au cours de sa carrière, elle a présenté des chansons mémorables comme Tea for Two, I Want to Be Happy, Sometimes I’m Happy, Blue Danube Blues et Good Morning, Dearie.

Résumé: Loulou est la propriétaire d'un café à Newport. Elle tombe amoureuse de Bilge, l'un des nombreux marins qui fréquentent son restaurant chaque fois qu'ils sont au port. Mais Bilge hésite à envisager le mariage. Alors Loulou prend la pette fortune dont elle a hérité et le suit jusqu'en Chine. Quand elle semble enfin avoir réussi à persuader Bilge de se marier, ce dernier découvre qu'elle est riche. Bilge ne veut plus se marier mais Loulou remporte son long combat en acceptant de céder son argent à leur premier enfant.

Création: 25/4/1927 - Belasco Theatre (Broadway) - 352 représ.



Musical
0005 - Three Musketeers (The) (Friml) (1928)
Musique: Rudolf Friml
Paroles: Clifford Grey • P. G. Wodehouse
Livret: William Anthony McGuire
Production originale: Florenz Ziegfeld
3 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  Liste chansons  

Un musical à succès basé sur le roman "Les Trois Mousquetaires" d'Alexandre Dumas.

Genèse:

1928 - Broadway

Alors que la belle saison 1928-1929 avançait, un autre musical allait se rajouter au nombre déjà important de succès. Le «The Three Musketeers» de Rudolf Friml était aussi un élément de plus que le compositeur rajoutait à sa série de succès romantiques dont «The Vagabond King» (1926). Il avait choisi Dennis pour jouer D’Artagnan qui fut le Roi Vagabond dans le musical dont nous venons de parler mais aussi l’acteur-vedette de son «Rose-Marie» (1927). La partition de «The Three Musketeers» n’a délivré aucune chanson qui soit devenu un classique, mais il s’agit d’une bonne musique solide dans la tradition des opérettes de l’époque (une chanson de marche, une chanson à boire et de nombreuses ballades). Ce fut aussi le dernier succès de Friml Broadway. Plus tôt dans la saison, déjà, «The White Eagle» n’avait tenu l’affiche que quelques semaines (48 représ.), et ses deux derniers musicals eurent de très courtes séries: 21 représentations pour «Luana» () (1930) et 25 représentations pour «Music Hath Charms» () (1934). Pour le producteur Florenz Ziegfeld, ce musical est son cinquième succès d’affilée. Au cours de la saison précédente, «Rio Rita» avait été créée (494 représentations) puis, au début de la saison 1927-1928, il présenta l’édition 1927 des Ziegfeld Follies () (qui mettait en vedette Eddie Cantor, Cliff Edwards, et Ruth Etting et a présenté le «Shaking the Blues Away» d’Irving Berlin), «Show Boat» () et «Rosalie» (). Le blockbuster «Whoopee» () suivra plus tard dans l’année. A la création, «The Three Musketeers» proposait des décors somptueux de Joseph Urban, la majorité des costumes étaient de John W. Harkrider, et la vedette féminine était Vivienne Segal (Constance Bonacieux), poursuivant ici son remarquable palmarès de créations de rôles majeurs dans les opérettes et musicals d’importants paroliers et compositeurs.

1930 - Londres

Deninis King, qui avait créé le rôle de D'Artagan à Broadway, a repris son rôle à Londres en 1930 au Theatre Royal Drury Lane. Le spectacle s'est joué durant 272 représentations.

1984 - Broadway

Un revival a ouvert le 11 Novembre 1984, au Broadway Theatre, pour 9 représentations, un terrible flop. Tout fut confus: Tom O'Horgan était le metteur en scène mais abandonna son poste quelques jours avant la première, le cédant à Joe Layton. L’échec a été terrible, malgré une très belle distribution: Michael Praed (D’Artagnan), Liz Callaway (Constance), Chuck Wagner (Athos), Brent Spiner (Aramis), Ron Taylor (Porthos), Ed Dixon, Joseph Kolinsky, Marianne Tatum, et Viva Salno. La production a conservé sept chansons de l’original, «All for One and One for All», «My Sword (and I)» (qui avait été supprimée lors de la création originale de Broadway), «(My) Dreams», «(March of the) Musketeers», «Gossips», «Ma Belle» et «Gascony» (rajoutée lors de la série originale de Broadway). «Only a Rose» de «The Vagabond King» a été ajoutée. Les sources musicales pour d’autres chansons utilisées dans le revival ne sont pas claires.

Résumé: Au début du XVIIe siècle en France, le pauvre mais très viril d’Artagnan se rend à Paris pour rejoindre les Mousquetaires (les gardes du corps du roi). Il rencontre et tombe amoureux de Lady Constance Bonacieux, une dame d’honneur de la reine Anne. Pendant ce temps, le cardinal Richelieu apprend que la Reine a donné au duc de Buckingham, en gage de son amour, une broche avec des diamants qui était un cadeau du Roi. Richelieu suggère au Roi de demander à la reine de la porter lors d’un gala royal prévu. Richelieu envoie le Comte de Rochefort et Milady de Winter à Londres pour récupérer le joyau qu’il prévoit de dévoiler lui-même lors du gala afin de révéler que la Reine a été infidèle au Roi. La Reine demande à sa dame d’honneur, Constance Bonacieux, d’impliquer les mousquetaires dans la récupération du bijou afin qu’elle puisse déjouer le complot. Mais quand les mousquetaires arrivent à Londres, il est trop tard: Lady de Winter est arrivée en premier. D’Artagnan utilise ses charmes sur Milady de Winter pour lui voler le précieux bijou. Après un combat à l’épée, les mousquetaires tuent le Comte de Rochefort et retournent à Paris juste à temps pour apporter le bijou pour le gala. Le Roi Louis le fixe à l’épaule de la Reine comme il l’a fait lorsqu’il lui a donné pour la première fois.

Création: 13/3/1928 - Lyric Theatre (Broadway) - 318 représ.



Musical
0006 - Mr Cinders (1929)
Musique: Richard Myers • Vivian Ellis
Paroles: Clifford Grey • Greatrex Newman
Livret:
Production originale:
6 versions mentionnées
Dispo: Synopsis  Commentaire  Génèse  Liste chansons  

Genèse: After a tryout in Blackpool in September 1928 and three-month provincial tour, the musical opened in London at the Adelphi Theatre on 11 February 1929 and moved to the London Hippodrome on 15 July 1929. It ran for 528 performances. It starred Bobby Howes and Binnie Hale, and became a signature piece especially for Howes. The musical had immediate international success in continental Europe and elsewhere. A revival took place at the Streatham Hill Theatre in April 1930, and the show was adapted for film in 1934. The show was revived at the Fortune Theatre in April, 1983 with Denis Lawson in the title role and ran for 527 performances. When Lawson left the show Lonnie Donegan took over the part, quickly followed by Lionel Blair, but without Lawson the show soon folded. Goodspeed Opera House revived the piece in 1988. It was also revived in 1996 by the Shaw Festival, and again in 2009 by the theatre group of Emerson Jr./Sr. High School in Emerson, NJ.

Résumé:

Création: 11/2/1929 - Adelphi Theatre (Londres) - représ.



Musical
0007 - Smiles (1930)
Musique: Vincent Youmans
Paroles: Clifford Grey • Harold Adamson
Livret: William Anthony McGuire
Production originale: Florenz Ziegfeld
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Génèse  Liste chansons  

Genèse: Sur papier, ce projet semblait fabuleux, destiné à être le hit musical de la saison 1930-31. Plusieurs mois avant la première de Broadway, et même avant que le spectacle ait un titre, d’alléchantes annonces en pleine page ont paru dans les programmes de théâtre de New York avec à la fois une photo du duo royal des musicals, Fred et Adele Astaire, et de la star Marilyn Miller, agrémentée d’une légende indiquant qu’ils seraient «bientôt dans une nouvelle production Ziegfeld avec de la musique de Vincent Youmans.» Plus tard, le spectacle a reçu un titre temporaire: Tom, Dick, et Harry. Le long du sinueux chemin créatif, il fut aussi annoncé que le comique-vedette Eddie Foy Jr. rejoignait le cast, comme le décorateur de légende Joseph Urban. Mais Smiles s’est avéré être un terrible flop qui a perdu une petite fortune et a tenu moins de deux mois à Broadway. Comme toujours, les critiques ont été enchantés par Marilyn Miller et les Astaires, mais ils ont estimé que le livret de William Anthony McGuire était cliché et sans humour. Et la musique de Youmans a déçu. Il avait créé des tubes à l’ancienne pour ses succès No, No, Nanette () (1925) et Hit the Deck () (1927), et même son récent flop Great Day! () (1929) avait introduit trois chansons qui allaient devenir des classiques: More Than You Know, Without a Song et la chanson-titre Smiles.

Résumé: L’histoire commence en France en 1918 lorsque quatre soldats américains (Holy Joe, Pierre, Tony et Dick) adoptent une jeune orpheline française de dix ans, Madelon (Lorraine Jaillet), qu’ils surnomment «Smiles». Douze ans plus tard, Smiles (Marilyn Miller dans son quatrième rôle-titre après Sally (), Sunny () et Rosalie ()) devenue adulte vit à New York et travaille dans une mission de l’Armée du Salut. Elle rencontre le riche playboy Bob Hastings (Fred Astaire) et sa sœur Dot (Adele Astaire) qui l’invitent à un bal costumé dans leur manoir de Southampton. Bob finit par tomber amoureux de Smiles, tout comme Dick. Smiles finit par donner sa main à ce dernier.

Création: 18/11/1930 - Ziegfield Theatre (Broadway) - 63 représ.



Musical
0008 - Mr Whittington (1934)
Musique: Jack Waller • John W. Green • Joseph Tunbridge
Paroles: Jack Waller • John W. Green • Joseph Tunbridge
Livret: Clifford Grey • Douglas Furber • Greatrex Newman
Production originale:
3 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Commentaire  

Genèse:

Résumé: Richard Whittington, a young man about town, has lost everything on a Stock Exchange investment due to the scheming of the wicked Sir Timothy. To add to his troubles Richard is run over in Piccadilly and taken to a hospital with concussion, and he dreams of success: he rides the winner in the Derby, wins the Lonsdale Belt at the Albert Hall, strokes Oxford to victory, organises a scout and girl guide jamboree, wins a local election - and finally wakes up to discover his fortunes are restored - thanks to the delightful Betty Trotter, Sir Timothy’s secretary – and he even is appointed Lord Mayor of London.

Création: 1/2/1934 - Hippodrome (The) (Londres) - représ.



Musical
0009 - Bobby get your Gun (1938)
Musique: Jack Waller • Joseph Tunbridge
Paroles: Bert Lee • Clifford Grey • Desmond Carter
Livret: Bert Lee • Fred Thompson • Guy Bolton
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Commentaire  

Genèse:

Résumé: Bobby Lockwood is the presumed heir to the Earldom of Lockwood, but to prove his claim he must produce his birth certificate. Since Bobby’s father was a gangster in Cuba, that is where the birth certificate will be - hence Bobby and his valet, Pettick, together with his Aunt Prunella, journey to Havana to retrieve this vital document. Once in Cuba Bobby meets Lupe, the gangster’s moll, a cabaret performer who leads them all in the Conga dance, and Bobby falls in love with Rita, the wine waitress at the Santa Margherita Inn (who inevitably by the end of the show will become the new Countess of Lockwood!). However, the birth certificate has already been stolen by the gangster Flash Tomkins, in pursuit of whom Bobby and Pettick end up on board the lie de Martinique, where to escape detection they pretend to be penguins and frighten off a gunman by pretending to be ghosts. With the birth certificate finally in his possession, Bobby is back in his new stately home where he gives “an inimitable representation of a mad peer mounting an invisible horse” before the whole show ends with a grand wedding scene.

Création: 7/10/1938 - Adelphi Theatre (Londres) - 92 représ.